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L'Embell'Vie
L’Embell'Vie est un jeu de mot qui traduit le chemin vers votre renaissance. L’Embellie pour un nouveau rayonnement et la Vie pour le fait qu’elle doit être vécue par chacun avec ses hauts et ses bas.
Comme un petit poussin qui sort de sa coquille, osons nous aussi à certains moments sortir de notre coquille pour aller de l’avant. De notre zone de confort à notre zone de grandeur, il y a deux pas. Le passage par la peur puis par l’apprentissage vous fera devenir acteur de votre vie plutôt que de la subir.
Ce chemin parfois laborieux ne peut généralement pas se faire seul. C’est le principe de l’accompagnement que je vous propose : une meilleure compréhension de vous-même, de votre environnement et une remise en question pointue de vos actes pour aller chercher ensemble des solutions appropriées à votre situation.
Parcours
Mon parcours professionnel
Depuis le fondamental et à l’heure de commencer des études supérieures, j’ai toujours eu en moi le désir de partager mes connaissances et de servir à faire progresser autrui. Lorsque je fus adolescente et soucieuse de former des plus jeunes que moi, il m’a paru évident de réaliser un bachelier afin de devenir institutrice primaire.
Trois ans plus tard, j’ai voulu mieux comprendre les difficultés inhérentes aux enfants et adolescents présentant des caractéristiques spécifiques. J’ai dans ce sens accompli une année complémentaire en orthopédagogie. Riche en expériences, ce perfectionnement m’a ouvert les yeux sur un pan de l’enseignement qui m’était inconnu.
Dans la continuité, pour alimenter mes compétences pédagogiques et m’ouvrir à un public plus large, j’ai décidé d’effectuer la passerelle vers les Sciences de l’Education afin de devenir psychopédagogue. Ces 3 années m’ont immergée dans la formation des adultes, la recherche et le monde des entreprises. Il n’en résulte que du positif tant l’apprentissage était fécond. Petit plus… Grâce à mon diplôme d’orthopédagogue, le service de psychologie et de pédagogie du handicap de l’Ulg m’a engagée comme assistante étudiante pendant ce cursus. Que du bonheur ! Accompagnement d’étudiants d’orthopédagogie et de psychopédagogie, animation de séminaires et j’en passe.
Une fois mes études supérieures terminées, j’ai eu l’opportunité d’être directement engagée en tant que responsable projets au CECOTEPE (Centre de Coopération Technique et Pédagogique) asbl. Les 5 années que j’y ai passées ont contribué tant à mon développement professionnel qu’à mon épanouissement personnel. J’y ai découvert les « vraies » réalités du monde de l’enseignement, de la formation et de l’emploi, tout en contribuant à leur développement.
Le Collège provincial m’a ensuite désignée comme formatrice universitaire à l’Ecole provinciale d’administration (EPA). Mon rôle principal : dispenser pour l’ensemble des entités wallonnes des formations pointues en matière de pédagogie, management, communication et ressources humaines. Quel enrichissement ! Rencontre quasiment quotidienne pendant 6 ans avec des contremaîtres, des ouvriers, des brigadiers, du personnel de soins, du personnel médical et paramédical, des Directions et Directions Générales, des commissaires, des futurs fonctionnaires sanctionnateurs, des éducateurs,… La liste pourrait être complétée encore mais ce qui m’importe, c’est de vous remercier tous, avec ma plus grande gratitude, pour tout ce que vous m’avez apporté !
Suite à une reconversion professionnelle que vous comprendrez au chapitre suivant, je me suis replongée dans les bouquins pour me former en matière de psychothérapie et devenir en parallèle coach de vie. J’y ai trouvé mon bonheur ce qui m’a conduit à m’installer à mon propre compte.
Mon burnout
Attention au burnout et au manque de lâcher prise…
Votre corps vous lâche lorsque vous ne vous ne vous y attendez pas…
Je dédie ce texte à toute personne en désarroi, en détresse par manque de lâcher prise… Ayez envie d’avancer, de vous redécouvrir et de vous épanouir en laissant de côté le passé tout en en redécouvrant le présent et le futur qui s’offrent à vous….
Comme vous le savez, je m’appelle Vinciane Gouvy. J’ai vécu beaucoup de bonheur autour de moi jusqu’à ce qu’un burnout me terrasse littéralement pendant près de 2 ans. Voici ma petite histoire de vie que je vous partage en un minimum de mots….
Il y a de nombreuses années, j’étais un petit bourgeon qui ne rêvait qu’à s’épanouir et à grandir. En voulant aider autour de moi, j’ai entrepris mes études supérieures. J’étais contente. J’avais l’impression de pouvoir aider tout le monde tout en m’épanouissant personnellement et professionnellement parlant….
A la fin de mes études, magnifique ! Engagée comme chef de projet directement avant même d’avoir pu souffler ! Cinq ans après, je me retrouve parachutée (parce que je le désirais !) comme formatrice à temps plein pour soutenir l’ensemble des personnes travaillant dans le service public wallon. Génial on va se dire… Jusqu’à ce que la douche froide arrive progressivement…
Trop de boulot et trop de pression pour une seule et même personne. Je me voilais la face. J’aimais tellement mon boulot que je lui consacrais la plus grande partie de ma vie. C’est finalement ma volonté de fer qui m’a fait tomber très bas. Dans ma tête, si je n’arrivais pas à aller encore plus loin, j’étais fragile. Je me rends à présent compte que c’est tout le contraire mais il a fallu m’en rendre compte… Un peu tard malheureusement…
Je sais que je vivais avec un perfectionnisme exacerbé sans aucun lâcher prise. Dans ma tête, c’était : « Pour réussir, il faut que et je dois… ». Très appréciée par mes formés, je donnais et je redonnais. Comment ne pas les aider encore plus ? Dans le privé, on me disait dynamique et réactive à toute épreuve. Comment ne pas continuer dans ce sens ?
Au final, je me suis oubliée et je n’ai rien vu venir… Petit à petit, mon comportement a changé. Je me sentais moins concentrée, moins investie. Je devenais irritable et moins souriante. Je ressentais tout cela et mon mauvais stress renforçait encore ces comportements. Bref, un jour, j’ai craqué… De la phase d’alarme, à la phase de résistance, je suis arrivée à l’épuisement…
Je me vois encore rentrer dans mon entreprise. Et là, subitement, rien que de décrocher le téléphone ou de toucher mon ordinateur est devenu une horreur. Un instant qui dure dix secondes mais qui vous marque à vie… Et pourtant, je le sentais mais ne voulais pas lâcher prise. A ma dernière formation, j’avais les jambes en coton, ma voix était moins limpide, je n’entendais quasiment plus mon auditoire… Mais je continuais à me dire que c’était dans ma tête !
Diagnostiquée en burnout, j’ai eu l’impression que ma vie s’effondrait. Qui suis-je encore ? A quoi je sers ? Et toutes autres questions qui me terrassaient encore plus. Pourquoi moi ? Je suis nulle… Heureusement, j’ai eu mes parents et des amis qui m’ont soutenue de même que des professionnels qui m’ont accompagnée remarquablement. Un accompagnement long et lourd en couleurs mais qui devait se faire de semaine en semaine… Aussi, j’ai la chance d’avoir eu et d’avoir toujours un petit lapin bienveillant (mon petit Rubis) qui me donne tous les jours des câlins. Sans ces aides, mon conflit avec mon moi intérieur était impossible à résoudre et je les remercie tous !
Maintenant, j’ai compris beaucoup sur moi et surtout sur la vie. Par rapport au burnout et au manque de lâcher prise, cela peut toucher tout le monde. Je ne suis pas plus fragile qu’une autre personne. Je vis mes émotions mais j’ai une tendance beaucoup trop grande à être dans le contrôle…
Après deux ans d’enfer (et le pire, c’est que ça ne se voyait pas car c’est asymptomatique), j’ai enfin compris les causes de mon mal-être et j’ai réussi à me reconnecter à la vie. J’arrive à présent à modérer certains de mes traits de fonctionnement pour me reprogrammer à certaines limites et à réapprendre mes besoins fondamentaux. Comme tout être humain, j’ai encore mes failles et heureusement ! Ce sont elles qui me font aller de l’avant et évoluer vers le futur !
Depuis un an et demi, alors que c’était encore improbable, j’ai réussi à réunir mes compétences passées et à les embellir. Je me suis formée à la psychothérapie et au coaching de vie pour tous ceux qui ont besoin de soutien en toute bienveillance, respect, confidentialité et humilité.
Si vous vous reconnaissez dans certains propos de cette histoire, dites-vous que je crois en vous et que si vous voulez être acteur de votre vie, vous y arriverez ! Je serai là pour vous accompagner si vous le souhaitez ! Tout comme moi, choisissez le bon chemin… Avez-vous envie de rester dans une position bourgeon ou de devenir une belle fleur ? Tous les jours, puisez les racines du sol qui vous donnent de l’énergie et récupérez l’eau qui tombe sur chaque fleur pour l’embellir et la faire grandir…
Vinciane et son assistant Rubis 😊
Public cible
Mon Public cible
J'accueille en consultation :
- Les enfants à partir de 6 ans
- Les adolescents
- Les adultes, tous âges confondus
- Toute personne à caractéristique spécifique - ex. handicap
Thématiques
Mes thématiques en consultation
Suite à mes expériences et mes acquis, je traite principalement :
- Le burnout
- La dépression
- Le lâcher prise
- Le harcèlement moral
- La communication non violente
- La confiance en soi
- La gestion des émotions
- L'hypersensibilité
- La gestion du stress
- Les conflits conjugaux
- Les addictions numériques
Méthodes
Mes méthodes de travail
Ma manière de travailler repose sur :
- Un questionnement pointu et puissant
- L’utilisation d’outils relatifs à la Programmation Neurolinguistique et à l’analyse transactionnelle
- Des outils de relaxation, de méditation et de stimulation énergétique
- L’utilisation de questionnaires et tests pour mieux se comprendre et comprendre l’autre
- Des outils plus ludiques en fonction de vos envies et besoins
- La technique des PPPP alias progresser avec les Plus Petits Pas Possibles, sans précipitation
Elle repose également sur :
- Une observation fine des faits et des émotions
- De l’écoute active
- Une prise de parole avec parcimonie
- De l’empathie
- De l’assertivité
- Une confiance en l’autre pour progresser
- Du positivisme
- De la disponibilité
- … et bien évidemment sur de la bienveillance, du respect, de la confiance et de la confidentialité totale !
La PNL
« L’art de l’excellence personnelle »
La PNL est née en 1972 par John Grinder, professeur de linguistique, et Richard Bandler, mathématicien et psychothérapeute aux Etats Unis en Californie.
Elle est un réel outil de développement personnel et d’accompagnement au changement dans tous les domaines de la vie. À travers leurs schémas comportementaux, la PNL s’intéresse à la façon dont les humains fonctionnent dans un contexte spécifique. Elle les aide à modifier la manière dont ils perçoivent leur environnement pour atteindre et réaliser leurs objectifs de manière plus efficace. En effet, la carte n’est pas le territoire. La perception du monde que nous avons est propre à chaque individu, modulée par nos propres croyances et programmes.
P pour programmation
Nous sommes tous « programmés » par notre éducation, notre vécu et nos expériences. Ce ne sont pas tant les messages reçus par nos différents « référents » (parents, oncles, instituteurs…) qui importent mais la manière dont nous les avons interprétés. Ces interprétations sont totalement inconscientes. Elles génèrent plus tard petit à petit des habitudes, des savoir-faire, des savoir-être, des réflexes… propres à chacun.
En consultation, il est extrêmement important d’analyser les programmes. Effectivement, comme pour un ordinateur qui fait des mises à jour, après analyse des programmes intériorisés, il est peut-être nécessaire d’en ôter certains pour les remplacer par d’autres plus prometteurs. La PNL permet ainsi de recoder nos expériences et d’organiser notre programmation interne afin d’atteindre les objectifs préconisés.
N pour neuro
Tout ce que nous percevons, stockons et restituons comme informations dépend de notre système nerveux et de notre cerveau. Tout ce qui passe par notre cerveau passe avant tout par nos cinq sens. C’est en combinant ces différents canaux que nous appréhendons le monde extérieur.
En consultation, il est parfois important de comprendre le fonctionnement du système nerveux et de notre cerveau. Cela permet d’activer de nouvelles connexions et d’appréhender le monde différemment.
L pour linguistique
Le langage reflète notre pensée. Tout mot a une signification particulière liée à une expérience propre, un sentiment spécifique.
En consultation, il est très intéressant d’analyser le discours d’une personne car il est riche en informations. Il permet de comprendre comment la personne a construit son expérience de vie et comment elle la vit actuellement.
La PNL se préoccupe avant tout du « Comment faire pour que ça fonctionne bien ? » plutôt que du « Pourquoi ça ne fonctionne pas ? ». Les échecs n’existent pas. Il n’existe que des expériences qui nous enseignent et nous permettent de progresser. Ainsi, un des leitmotivs des outils de la PNL est de rendre la personne actrice de sa vie. Être acteur, c’est prendre conscience de ce que l’on veut, de ce que l’on a et de ce que l’on n’a pas et de toutes les personnes impliquées dans le processus.
Au final, destinée à tout type de public, la PNL représente un réel outil pour :
- Découvrir le monde et se découvrir soi-même
- Dépasser un obstacle
- Mieux gérer ses ressources dans différents contextes
- Choisir et trouver son propre projet de vie
- Retrouver sa motivation
- Améliorer ses apprentissages
- Se libérer de ses croyances limitantes
- Changer les comportements et les habitudes qui nous limitent
- Améliorer sa confiance en soi, son estime de soi
- Mieux gérer ses émotions
- Communiquer de façon claire et efficace
- Développer des relations constructives et épanouissantes avec son entourage
Lors des consultations, le praticien peut utiliser toutes sortes d’outils tels que :
- L’ancrage et le désancrage
- Le recadrage
- Les niveaux logiques
- Les méta-programmes
- La synchronisation
- Le V.A.K.O.G. (Acronyme de Visuel, Auditif, Kinesthésique, Olfactif et Gustatif)
- …
Personnellement, ce sont les outils que je viens de citer que j’utilise particulièrement. À vous de les découvrir…
L' Analyse Transactionnelle
Fondée par Éric Berne dans les années ’50, l’analyse transactionnelle (AT) se concentre sur les échanges relationnels entre deux ou plusieurs personnes. Elle est une théorie de la personnalité, des rapports sociaux et de la communication.
Utiliser l’AT en consultation est très riche car, souvent, la personne pense que le souci vient de l’autre ou d’elle-même alors que ce sont les relations, nos perceptions et nos systèmes de croyances qui posent problème.
Les états du Moi
Berne propose une relecture du « Moi » freudien qui postule qu’il existe trois types d’Etats du « Moi ». Ainsi, selon l’AT, une personne peut agir et être en relation avec les autres en adoptant l’une des postures suivantes : le parent, l’adulte, l’enfant. Le parent peut être bienveillant et nourricier ou juge et normatif. L’adulte est neutre, objectif et rationnel. L’enfant peut être libre, rebelle ou soumis.
Notre personnalité s’exprime ainsi selon les contextes de vie :
- Sous les traits de l’enfant que nous avons été
- Des parents que nous avons eus
- Ou de l’adulte que nous sommes devenu
Ces états du Moi coexistent chez une personne et s’extériorisent indépendamment selon les moments et les circonstances. Observer ces états du Moi en tant que praticien permet de situer la personne par rapport à elle-même et sa relation aux autres. Il peut alors survenir une prise de conscience qui permettra le passage progressif vers un autre état du moi pour créer un équilibre dans les échanges.
Les transactions
En AT, une transaction est un échange verbal et/ou non verbal entre deux personnes, c’est-à-dire un stimulus et une réponse à ce stimulus. Ces transactions peuvent être observées et analysées en consultation. Celles-ci permettent de mieux comprendre les rôles joués par chacun dans la communication pour éventuellement les changer. Il ne s’agit évidemment pas d’analyser toutes nos relations mais bien celles qui sont problématiques et conflictuelles.
Les signes de reconnaissance
Dans l’AT, nous retrouvons également l’observation des signes de reconnaissance (« strokes ») émis par une personne. Les strokes sont des signes par lesquels un individu reconnaît l’existence d’un autre individu. Ils sont des stimulations que l’on reçoit lorsque nous entrons en interaction avec d’autres personnes.
- Le stroke positif est un signe de reconnaissance des qualités de l’autre
- Le stroke négatif dévalorise l’autre (critique ou geste réprobateur)
- Le stroke conditionnel est relatif, c’est-à-dire rattaché à une seule donnée (« ton dessin est superbe »)
- Le stroke inconditionnel est absolu, c’est-à-dire général. Il est très valorisant quand il est positif (« Quel talent tu as ») mais très destructeur quand il est négatif (« Tu es nul »)
Les travaux de Berne ont démontré qu’il est plus bénéfique pour une personne de recevoir des strokes conditionnels plutôt que pas de strokes du tout ! Ce constat est très intéressant car il peut expliquer dans certains cas l’attitude rebelle, provocatrice ou démotivée de ceux qui souffrent de l’indifférence de leur entourage proche (conjoint, parent, employeur…).
La forme la plus négative de stroke, s’il se produit à répétition, est le stroke inconditionnel négatif. Pour une personne à qui l’on répète en boucle qu’elle n’est bonne à rien, cela risque d’entraîner des conséquences psychiques graves.
Travailler sur les strokes en consultation est très riche en termes d’informations. Ceux-ci ont une influence énorme sur la confiance en soi, le stress et les émotions ressenties par une personne (qu’elles soient positives ou négatives).
Les scénarios de vie
Selon Berne, un scénario programmé et inconscient agence la vie d’une personne. Un scénario de vie est un plan de vie inconscient élaboré dans l’enfance. Il est renforcé par les figures parentales (le parent dit ou induit des choses et l’enfant le prend pour argent comptant). Il se justifie par les expériences de la vie ultérieures et aboutit à une issue prévue.
Selon Berne, nous sommes tous à notre naissance des petits princes et des petites princesses. C’est tout notre vécu, de l’enfance au présent, qui va écrire une histoire différente.
Berne classe les scénarios en 6 grands types :
- Scénario « jamais » : la personne n’atteint jamais ce qu’elle souhaite - Je n'y arriverai jamais
- Scénario « toujours » : la personne n’atteint jamais ce qu’elle désire - C'est toujours la même chose avec moi
- Scénario « jusqu’à » ou « avant » : la personne s’emploie à atteindre un objectif pour ensuite avoir sa récompense
- Scénario « après » : scénario inverse au précédent, la personne peut apprécier sa vie après un certain but atteint
- Scénario « presque » : la personne a presque atteint son but, presque profité de sa vie
- Scénario « sans conclusion » ou issue ouverte : la personne prévoit sa vie jusqu’à un certain moment, ensuite elle n’a plus de but
Travailler en consultation sur ces scénarios est très porteur puisque ce sont ceux-ci qui influencent la manière dont on pense, dont on agit et entre en relation avec les autres. Ils permettent de saisir la dynamique intrapsychique et interpersonnelle d’une personne. Ils permettent également de comprendre que, généralement, nous prenons dans l’enfance des décisions pour survivre et répondre à nos besoins immédiats d’amour, de sécurité et de protection et que plus tard, nous continuons inconsciemment à nous conformer à ces décisions même si elles sont néfastes pour nous et nous empêchent de nous épanouir.
Les positions de vie
À l’origine des scénarios de vie existent des positions de vie. Elles représentent la manière dont on se voit et dont on voit les autres. Ces positions de vie se construisent dès les premiers mois de l’enfance et nous suivent jusqu’à ce que nous les modifions. L’enfant dès son plus jeune âge donne du sens à ses expériences et en retire des conclusions sur sa propre valeur et sur celle des autres et du monde.
La position de vie est totalement subjective. Elle n’est que le fruit des croyances qu’une personne a sur elle-même et sur les autres.
L’AT distingue 4 positions de vie :
- J’ai de la valeur, les autres aussi OK / OK + (bienveillance)
- J’ai de la valeur, les autres non OK + / OK – (complexe de supériorité)
- Je n’ai pas de valeur, les autres si OK - / OK + (complexe d’infériorité)
- Je n’ai pas de valeur, les autres non plus OK - / OK – (négativisme)
Vu que ces positions de vie justifient nos décisions et nos comportements, il est très utile de les travailler et analyser en consultation.
Relaxation - Méditation - Exercices énergétiques
De manière ponctuelle, sans se substituer aux professionnels du domaine (!), en fonction de vos envies et besoins, je préconise durant 2 à 5 minutes quelques techniques afin de :
- Mettre la personne en de bonnes dispositions en début de consultation
- Lâcher certaines tensions en cours de séance ou en fin de séance
La relaxation est une méthode de décontraction pour faire retomber les tensions musculaires et psychiques. Elle aide l’esprit à renouer avec le corps, retrouver la conscience de sa respiration, de son rythme cardiaque. Elle restructure la personne. Elle permet le relâchement du tonus musculaire par une détente physique et mentale.
La méditation vient du latin « Meditare » qui signifie « contempler ». Elle est une pratique d’entraînement de l’esprit favorisant le bien-être mental, le but étant qu’il se libère des pensées négatives qui nous empêchent de progresser dans notre vie. Le cerveau peut être entraîné comme un muscle. Il s’agit donc d’augmenter notre concentration et de comprendre notre esprit intérieur pour ressentir un sentiment progressif de plénitude. Faire de la méditation nous permet de rester centré, concentré, focus.
Les exercices énergétiques ont pour fonction d’augmenter notre énergie vitale et notre vitalité. Ce sont des exercices de présence à soi. Ils permettent de se recentrer sur soi et sur la vie en général.
Rubis
Mon assistant Rubis
Le lien « thérapeutique » entre les animaux et les humains est prouvé. Leur générosité, leur amour sans faille, leur regard, leur toucher, leurs comportements et leur non verbal très communicatif sont de vraies vertus.
Des études comme celle menée par Aaron Katcher de l’Université de Pennesylvanie ont démontré que la présence d’un animal de compagnie a pour effet de réduire la montée de cortisol, à savoir l’hormone du stress. Au-delà de cet effet apaisant, un animal de compagnie peut représenter une réelle source de sécurité et améliorer notre concentration. Pourquoi ?
Que nous soyons enfant, adolescent ou adulte, notre cerveau doit traiter une quantité colossale de signaux et ce, de manière simultanée. Cela nous fatigue et nous oppresse bien souvent. L’animal renvoie assez peu de signaux et n’exige aucun traitement d’information verbale. Notre cerveau peut dès lors se mettre au repos et dégager de l’énergie pour un travail ultérieur.
L’animal est également très comique de nature. Il ne peut donc qu’améliorer notre humeur et nous rendre joyeux rien qu’en un regard.
Voici pourquoi je vous présente mon lapin Rubis 😊. Même s'il gambade régulièrement, il a aussi une cage bien à lui. Cette cage que j’ai installée sur roulettes sera présente aux consultations si vous le souhaitez. Si allergie ou non envie, je le place en-dehors du cabinet.
Rubis n’a pas pour fonction d’être thérapeute. Il permettra simplement d’être, si vous le désirez, un intermédiaire qui vous donnera parfois des ailes pour réaliser certains exercices ou entamer certaines discussions plus douloureuses. Il peut être un vrai soutien émotionnel. Dites-vous bien que cette petite bestiole affectueuse ne vous jugera pas et sera présente pour vous avec toute sa bienveillance ! Que du bonheur !
Rubis
Assistant Lapin Contacts
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